vendredi 14 novembre 2014

Un bout d'elle



Au détour d'un couloir de musée, une mezzanine laisse entrevoir un détail d'un érotisme torride, un genou nu, voir deux même.

Les genoux sont à ne pas confondre avec les gnous. Ces derniers migrent par milliers alors que les premiers restent en couple, rarement plus.

Les gnous sont pourvus de cornes, contrairement aux genoux, lisses généralement, sauf dans les cas d'abus d'utilisation de prie-Dieu, ce qui n'est pas le cas de notre sujet et c'est tant mieux.

mercredi 20 août 2014

La carte postale



En vacances en Sardaigne, nous avons cherché à envoyer de jolies cartes postales aux proches restés dans la grisaille hexagonale. Dure besogne! Nous ne nous attendions pas à aussi peu de choix (mer bleue avec un bateau, mer bleue avec  une plage de sable fin ou mer bleue avec une paire de fesses) ni à autant de mochitude: certaines photos ont du être prises dans les années 80 avec un jetable!

Faut-il en vouloir à une terre entourée d'eau de montrer que cette eau est belle, chaude, transparente et bleu azur? Peut-être pas. Alors moi aussi, j'y vais de ma carte postale. Ne trouvant pas de fessier coopérant, un palmier a accepté de faire mon premier plan... Quel chic type, ce palmier!

mercredi 11 juin 2014

Expo photo!


Le Théâtre du Champs de Bataille expose une vingtaine de mes photos des spectacles (théâtre/clown/danse) programmés ces trois dernières années.

Vernissage le mercredi 18 juin 2014 à 18h puis exposition permanente les après-midi ainsi que les soirs de spectacle.

Maquereau-photographie


Faire de la maquereau-photographie est à la portée de tout le monde: n'importe quel appareil de prise de vue fera l'affaire! J'en conviens, les papillons sont plus sexy mais ici, la faim justifie les moyens.

mardi 6 mai 2014

Rosée matinale


Dimanche matin, je suis allé faire des photos
l'air bête et mouillé / l'herbe était mouillée...

vendredi 21 février 2014

Les parapluies de Strasbourg


  Crème, ocre, noir... grès rouge contrasté par l'humidité... La masse sombre de la cathédrale écrase le passant qui passe.
  La grande rosace, chef-d'oeuvre de la renaissance mais désormais oeil cyclopéen privé d'éclat, jauge le passant qui passe.
  Les statues trempées et impassibles font équipe avec les gargouilles ruisselantes pour jouer à qui pisse le plus loin et visent le passant qui passe.

  Ce qui se trame là haut, le passant qui passe s'en moque: il a sorti son parapluie, passe et préfère regarder où il pose les pieds.